Jean, le photographe, se rend sur la place pour prendre des photos des enfants qui jouent près de la fontaine, il en profite pour photographier les mamans et leurs petits, ainsi il arrondi ses fins de mois… > Comme il a prêté sa voiture à Louis, aujourd’hui il pédale et a pris le Grand BI , il passera d’abord à son atelier pour récupérer le matériel photographique.
C’est pour lui un moment privilégié, car il a l’occasion de faire son travail à l’air libre, et de joindre l’utile à l’agréable en se faisant une nouvelle clientèle.
Il commence à être bien connu pour sa gentillesse, son sens du service et surtout pour son sens artistique ; il a une patience d’or avec les enfants et ses photos sont toujours très réussies.
Il arrive à saisir les bonnes expressions et c’est ce qui plaît aux mamans …
La grille est issue de la grille _Yesteryear de Little House Needleworks.
Brodé en 1 fil sur la toile 16 fils.
A PARTE pour les curieux (ses) de tout ….(source Musée du vélo). Le grand bi en bois
On cherche alors à rendre le vélocipède plus rapide. Comme les pédales étaient fixées de part et d’autre du moyeu de la roue avant, il fallait augmenter le diamètre de cette roue motrice pour accroître la distance parcourue à chaque coup de pédale. Alors le diamètre de la roue avant ne cessera d’augmenter tandis que celui de la roue arrière diminuait son rôle se limitant à permettre l’équilibre de l’ensemble. Ainsi naquit le grand bi dans les années 1870.
Le Grand bi acier :
Puis le grand bi en bois fut remplacé par le grand bi en acier. Vers 1875, le français Jules Truffault allégea jantes et fourches en les fabricant creuses à partir d’un stock déclassé de fourreaux de sabre et construisit une machine en remplaçant les lourds rayons en bois par des rayons métalliques en tension.
En 1881, le grand bi atteint presque la perfection et pèse pour les modèles de course 10 à 11 kilogrammes ! Cependant, l’hypertrophie de la roue avant (on arrivera à des roues de 3 mètres de diamètre !) pose des problèmes de sécurité. Que les premiers spécimens, voulant échapper à la logique équilibriste des grands bi se soient appelés safety ou bicycle de sûreté confirme à quel point la hantise des chutes imposait le besoin d’engins plus proche du sol.
Je découvre ton casier à thème (ça fait longtemps que je ne m’étais pas baladé sur ton blog) : c’est charmant la petite histoire qui donne du sens à la broderie.
Merci Chaplin, j’y prends beaucoup de plaisir à créer et imaginer mes personnages, ainsi je mets en place la trame de l’histoire du casier …
Cela me sert, aussi, de direction pour placer les scènes qui me plaisent …
C’est amusant ces historiques concernant les vélos d’antan… je ne serais pas montée à 3 mètres de hauteur!!
Jean a un vélo de taille raisonnable… et sa description me plaît beaucoup.
Encore un bel épisode!
Bisous.
Moi non plus, je n’y serai jamais montée !!!….
Je le dis bien, qu’il séduit les mamans ! Hi, hi, hi …
Dangereux en plus d’aller au travail sur un tel engin… mais je les trouve beaux à voir !
J’aime bien cette nouvelle petite scène… un distributeur de bonheur ce photographe !
Un petit coucou en passant
Amitiés Marylin
je viens de découvrir ce casier : UNE MERVEILLE !!!!
bravo….